Les africains deviennent des plus en plus vulnérables, pauvres dans leurs Etats pourtant regorgeant des richesses potentiellement énormes. Si seulement nous pourrions être à mesure de mobiliser nos énergies, nos ressources en réunissant tous les facteurs de développement comme nous le stipule dans les IDH (indice de développement humain) à savoir :
- la santé / longévité (mesurées par l’espérance de vie à la naissance), qui permet de mesurer indirectement la satisfaction des besoins matériels essentiels tels que l’accès à une alimentation saine, à l’eau potable, à un logement décent, à une bonne hygiène et aux soins médicaux.
- Le savoir ou niveau d’éducation. Il est mesuré par la durée moyenne de scolarisation pour les adultes de plus de 25 ans et la durée attendue de scolarisation pour les enfants d’âge scolaire. Il traduit la satisfaction des besoins immatériels tels que la capacité à participer aux prises de décision sur le lieu de travail ou dans la société ;
- Le niveau de vie (logarithme du revenu brut par habitant en parité de pouvoir d’achat), afin d’englober les éléments de la qualité de vie qui ne sont pas décrits par les deux premiers indices tels que la mobilité ou l’accès à la culture.
C’est dans le souci de voir une Afrique capable de se prendre en charge et de se développer tout en sachant qu’un développement ne peut voir le jour s’il y a pas de respect de DROITS DE L’HOMME, de la liberté et la sécurité de la population et leurs biens ; que la création de DEFENSIF DE DEVELOPPEMENT ET DROITS HUMAINS « D-HUMAINS » a vu le jour. EN 2010